mercredi 19 janvier 2011

WE Thaïlandais

Samedi 8 janvier



Balade sur l’un des plus gros marchés de la ville : fringues, électronique, animaux en tous genres,
nourriture… Un plaisir de tous les sens. Nous assistons à un combat de coqs. Ce sont de vrais monstres, une longueur de pattes impressionnante, des blessures de guerre sur tous le corps. Un spectacle un peu glauque à mon goût.





Train de nuit pour Koh Samui à 19H30. Nous partons avec Florence, retrouver un ami, de ma grande sœur, qui vit là-bas : Augustin. Nous voyageons en 2nd classe. Pas de couchette. Restriction budgétaire oblige, mais nous ne sommes pas si mal installées que ça. Et puis un wagon restaurant tellement agréable !

(petits enfants thaïs rencontrés à bord du train)

Dimanche 9 janvier

Arrivée le lendemain initialement prévue pour 6H au port de Surat Thani. Mais une fois de plus du retard. Nous ratons notre correspondance en bateau pour l’île de Koh Samui. On poireaute donc quelques heures à ne rien faire, dans un trou paumé. Embarcation sur le bateau. Que du touriste. Tout ce qu’on aime ! Petit somme sur le pont du navire.

Arrivée sur l’île. On embarque sur un taxi jeep avec d’autres compatriotes européens. Le chauffeur nous dispatche à nos hôtels respectifs. Nous lui donnons l’adresse de mon ami. Nous sommes attendues pour le dîner. Un repas à l’occidentale : saucisson, jambon, salade verte, rôti de porc – pommes de terre, vin et tarte aux pommes. Que demander de mieux. Un grand merci.

Nous partons dormir chez une amie quinquagénaire d’Augustin (il héberge encore pour une nuit sa mère venue lui rendre visite) Nous atterrissons dans une maison somptueuse de plain pied. Jackie nous fait faire la visite. Nous ne pouvions pas espérer mieux au niveau du confort. Piscine, lit moelleux, parquet au sol, salle de bain privative. Royal. Bain de 00H. La température est parfaite. J’en profite pour faire dégonfler mes pieds qui avaient triplé de volume depuis les 38H de train. Une horreur (3j pour en retrouver l’état normal).

Une nuit de rêve. Jusqu’au réveil….

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